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Le toit répond à l’objectif de protéger une maison des intempéries. La toiture traditionnelle se décompose en plusieurs parties : la charpente, les ouvertures, la couverture et les finitions.
La charpente représente l’ossature du toit, elle est généralement en bois. La couverture désigne le revêtement utilisé, le plus souvent des tuiles ou des ardoises. Les ouvertures permettent de laisser passer la lumière à travers la toiture (lucarne, velux…). Enfin, on retrouve le faîtage est le nom donné au sommet du toit, il permet ainsi l’évacuation de l’eau de pluie vers les gouttières. Ces 2 dispositifs peuvent se caractériser comme les finitions, ils permettent à la toiture de protéger l’habitation des intempéries.
Le modèle de la toiture en pente possède plusieurs variantes et est le plus utilisé en construction. Cependant, d’autres alternatives de forme de toitures sont possibles.
La toiture plate ou toit-terrasse est de plus en plus populaire en raison de son rendu moderne et de la flexibilité de pan qu’il offre. Elle permet d’intégrer un espace végétalisé et offre une très bonne isolation. La contrainte réside dans le système d’évacuation des eaux pluviales. Ce dernier doit être précisément maîtrisé pour éviter l’écoulement des eaux dans l’habitation.
La toiture arrondie est aussi possible. Ce modèle n’est pas très répandu, mais est très apprécié pour son design, son isolation et l’espace optimisé dans les combles. On le retrouve souvent dans les constructions écologiques.
Le schéma d’une toiture n’est pas aléatoire. Il se définit de façon à respecter les normes et les contraintes régionales. Par exemple, la forme de la toiture va se définir en fonction du climat de la région où elle se trouve. En cas de pluie ou chute de neige fréquentes. Une toiture située dans une région très ensoleillée aura une forme beaucoup plus plate.