Pour améliorer la performance thermique, Wienerberger propose une gamme de briques auto-isolantes. Celles-ci intègrent dans chaque alvéole de la laine de roche. Cette solution permet d’éviter la mise en oeuvre d’une couche supplémentaire d’isolation, tout en présentant une inertie élevée.
Publié le 5 mai 2014 par La Rédaction
Une brique à isolation thermique répartie
La famille des matériaux de construction est conséquente, aidée en cela par la gamme signée Wienerberger. Au travers de sa marque Porotherm, dédiée à la brique en terre cuite, le fabricant a mis au point un matériau avec de l’isolant dans sa structure. CLIMAmur – c’est son nom – intègre entre chaque alvéole de la brique de la laine de roche.
L’alliance entre les deux permet d’améliorer l’isolation de la construction en offrant une inertie renforcée. La terre cuite joue ainsi le rôle de régulateur thermique tandis que l’isolant minéral intervient contre les déperditions. La chaleur, comme la fraîcheur, suivant la saison, est alors emmagasinée puis restituée de façon diffuse, afin de conserver le confort intérieur. Le gain au niveau de la température pouvant atteindre 4 °C par rapport à une construction traditionnelle.
Cette solution est notamment adaptée pour les réalisations de maisons individuelles et les bâtiments tertiaires. Elle est également utilisable sur les projets à énergie positive.
Un matériau disponible en différentes dimensions
La brique isolée est écologique, à la fois 100 % naturelle, 100 % minérale et sans émission de COV. Elle est proposée en trois dimensions pour une utilisation sur tous les types de projets de construction : 30, 36 ou 42 cm de large. Ses performances thermiques sont élevées, respectivement avec un R de 3,85 m².K/W, 4,64 m².K/W et 5,44 m².K/W.
Dans le même temps, ce nouveau matériau conserve les atouts de la brique, notamment au niveau de sa solidité. Elle reste aussi insensible à l’humidité ou même aux inondations. Après séchage, le mur retrouve alors toutes ses propriétés.