Le radiateur à inertie s’impose désormais comme la solution pour toute installation de chauffage électrique. La transmission lente de la chaleur en est aujourd’hui l’un des meilleurs arguments, permettant également des économies d’énergie. Plusieurs solutions sont disponibles, avec des performances variables.
Publié le 16 octobre 2012 par La Rédaction
Le renouveau du chauffage électrique avec le radiateur à inertie
Gros consommateur énergétique, le chauffage électrique se devait de se renouveler. C’est fait avec la mise sur le marché des nouveaux radiateurs à inertie. Rappelant quelque peu le fonctionnement des chauffages à circuit d’eau, ils permettent ainsi non seulement d’importantes économies, mais offrent également un confort intérieur sans mesure avec les anciennes installations.
Ces radiateurs à chaleur douce ont pour principe de fonctionnement l’emmagasinement d’une importante quantité de chaleur qui est alors progressivement diffusée, y compris lorsque l’appareil est éteint. Ce a notamment pour atout de réduire la consommation, tout en offrant une diffusion homogène de la chaleur dans chaque pièce.
Les différentes solutions de chauffages à inertie
Le chauffage à inertie comprend aujourd’hui différents équipements. L’élément principal en est le cœur de chauffe. Celui-ci peut être constitué d’un fluide caloporteur, souvent à base de glycol ; il peut aussi être en aluminium, en acier ou, selon les procédés les plus récents, en matériaux réfractaires, que ce soit en céramique, brique ou stéatite.
Ces derniers éléments s’avèrent aujourd’hui les plus performants. En effet, ils peuvent stocker une grande quantité d’énergie, tout en offrant une diffusion sur la durée. Tous bénéficient, dans le même temps, de la même robustesse. Ils sont aujourd’hui proposés dans plusieurs designs et teintes.
L’amélioration de l’installation de chauffage électrique peut enfin être obtenue par l’installation d’un thermostat permettant de contrôler à distance le fonctionnement de chaque radiateur et ainsi de réduire un peu plus la dépense énergétique.