Le courant électrique a des actions que l’on ne saurait parfaitement maîtriser. Surcharge, court-circuit suffisent à générer un risque important tant pour l’installation que pour les personnes vivant dans l’immeuble concerné. Pour assurer la protection de l’équipement, il est recommandé la mise en place d’un disjoncteur divisionnaire, en amont du disjoncteur général.
Publié le 21 juillet 2014 par La Rédaction
Le phénomène de surcharge électrique maîtrisé
Indispensable à tout bâtiment, l’installation électrique n’en est pas moins un danger qu’il faut savoir maîtriser le cas échéant. Pour protéger chaque tableau électrique, la mise en place de disjoncteurs est aujourd’hui obligatoire. Le disjoncteur divisionnaire fait partie des équipements qui doivent être intégrés pour protéger l’immeuble.
Ce petit appareil vient appuyer l’installation en offrant une protection supplémentaire. Son fonctionnement intervient dès qu’il est détecté une surcharge en électricité en se déclenchant et en isolant la ligne concernée. Dans ce cas, l’électricité ne vient plus alimenter la construction, permettant aussi d’intervenir sans danger sur la ligne défectueuse, en supprimant les risques d’électrocution.
Une double protection, thermique et magnétique
Le disjoncteur dispose d’un fonctionnement un peu différent des autres disjoncteurs présents sur les tableaux électriques des constructions. Ainsi, celui-ci possède un double système de protection pour intervenir dans toutes les circonstances.
En cas de surcharge importante, la surchauffe en électricité entraîne automatiquement la coupure de la ligne sur les seuls éléments concernés par ce dysfonctionnement.
En présence d’un court-circuit, la ligne est isolée sans délai grâce à l’action magnétique utilisée par le disjoncteur. L’installation est alors parfaitement protégée, permettant d’interagir afin de définir et réparer la panne, sans risque.