Les façades en rénovation utilisent de multiples matériaux parmi lesquels la terre cuite. Celle-ci a été récemment choisie lors de travaux sur un ensemble d’immeubles à Gennevilliers, intégrés dans un plus vaste projet de restructuration. Cette solution séduit également de plus en plus de particuliers, avec une mise en œuvre sur les façades des habitats individuels.
Publié le 20 décembre 2013 par La Rédaction
Une nouvelle apparence et un confort thermique renforcé
Performance thermique et esthétique des bâtiments ne font aujourd’hui plus qu’un. La personnalisation est d’autant plus au rendez-vous suivant les matériaux choisis, que ce soit pour s’adapter au style régional ou pour donner à la construction une image unique. C’est le cas des travaux de rénovation engagés à Gennevilliers sur les immeubles de la Cité Rouge.
En effet, le projet architectural retenu opte pour une façade entièrement recouverte en terre cuite, matériau ancien qui a fait ses preuves concernant ses qualités isolantes. Il a ainsi permis d’offrir un nouveau visage au bâti, tout en garantissant une protection thermique renforcée, afin de diminuer la consommation énergétique.
Ce bardage en terre cuite a aussi pour atout d’être pérenne et sans entretien, s’adaptant à tous les types de construction.
Des façades en terre cuite, également adaptées aux constructions individuelles
Facile à poser, cette solution d’isolation par l’extérieur commence à faire son apparition sur les logements individuels, répondant aux nouveaux critères d’esthétisme, de performance, mais également d’écologie. En effet, la terre cuite reste entièrement naturelle tout en affichant une durabilité importante. Son aspect ne se réduit pas non plus aux seules couleurs rouges : elle est aujourd’hui proposée dans des teintes plus claires telles que le champagne ou le blanc ivoire.
Elle représente ainsi une autre façon de protéger les habitats en optant pour la particularité de sa couleur ocre ou en offrant plus de nuance. Facile à mettre en œuvre, ce bardage en terre cuite permet aussi un phasage des opérations simplifié. Dans le cas du projet de Gennevilliers, les travaux ont d’ailleurs été réalisés progressivement, limitant la gêne occasionnée.