Longtemps réservée aux locaux accueillant du public ou aux demeures d’architecte présentant un certain cachet, la verrière est désormais accessible à toutes les habitations, avec de nouveaux matériaux toujours plus performants.
Publié le 17 avril 2013 par La Rédaction
La luminosité, donnée première de la verrière
Inutile de disposer d’un château pour profiter d’un toit de verre dans sa maison. Cette particularité dans l’habitat est aujourd’hui de plus en plus présente dans les nouvelles constructions, que ce soit pour venir éclairer un jardin intérieur ou pour offrir un puits de jour dans la pièce à vivre. Les verrières sont ainsi devenues des éléments architecturaux permettant d’apporter à la fois originalité et luminosité à chaque réalisation.
La qualité technique n’est pas non plus en reste, loin des anciens équipements en simple vitrage. Désormais, ces structures autoportées sont généralement proposées en aluminium. Elles disposent d’un double vitrage pour profiter de ces espaces tout au long de l’année, sans influer sur la performance de l’habitat.
Les éléments peuvent être à simple ou double versant suivant l’architecture envisagée, avec des angles d’inclinaison variables pour s’adapter à chaque style.
La verrière, élément performant
Les différents fabricants de cet équipement assurent des réalisations sur mesure qui répondent également aux exigences thermiques et acoustiques appliquées aux bâtiments. Outre le traitement anti-corrosion qui concerne aussi la visserie, chaque verrière de dernière génération intègre des rupteurs de ponts thermiques pour une performance d’autant plus élevée, à l’image de ce qui est aujourd’hui proposé pour les vérandas.
Ces solutions multiplient ainsi les atouts tout en offrant un esthétisme nouveau. Elles peuvent en outre bénéficier d’adaptations pour améliorer le confort ou répondre parfaitement à l’utilisation attendue. C’est le cas avec l’intégration de volets de désenfumage ou d’une ventilation à commande électrique ou pneumatique.