La résine fait partie des habillages de sol que l’on retrouve dans l’habitat en rénovation depuis quelques années. Il s’installe aujourd’hui aussi dans les constructions neuves. Pour une bonne résistance dans le temps, le choix de la qualité demeure toutefois un impératif.
Publié le 4 septembre 2013 par La Rédaction
Changer facilement de sol avec la résine
Rénover les sols intérieurs d’une habitation représente toujours un chantier conséquent, surtout si celui-ci est en carrelage. Pour éviter de tout casser pour refaire une chape ou un ragréage, l’une des solutions est la mise en œuvre d’un sol en résine. Ce produit est disponible en polyuréthane ou en époxy. Ce dernier est le plus fréquent. Moins élastique que le premier, il est aussi moins résistant aux rayures, mais d’un prix plus abordable.
Présent dans les logements en rénovation, ce revêtement de sol s’adapte également aux constructions neuves. Il est alors mis en œuvre sur la chape, après le passage préalable d’une à deux couches de primaire pour lui permettre d’accrocher. La résine s’adapte, dans le même temps, à toutes les pièces, y compris les zones humides. Elle peut aussi être utilisée sur un plancher chauffant sans risque de fissure du fait de son élasticité.
Résine de sol : entre avantages et inconvénient
La résine de sol se pose généralement au rouleau ou au pinceau. D’une épaisseur de 2 à 3 mm, elle permet d’obtenir une surface parfaitement lisse, gommant les joints de l’ancien carrelage, sans avoir besoin de revoir les seuils et hauteurs de portes.
D’un entretien facile, simplement à l’eau avec un produit au PH neutre, de type savon noir, la résine présente toutefois pour défaut majeur d’être glissante lorsqu’elle est humide. Pour limiter cet inconvénient, il est possible d’intégrer à la préparation, avant la mise en œuvre, des minéraux qui ont pour effet de rendre ce nouveau sol antidérapant.
De nombreuses teintes sont disponibles pour disposer d’un sol adapté à l’environnement, tout en offrant un revêtement actuel.