Les nouvelles constructions intègrent progressivement des outils novateurs. L’objectif est de renforcer l’analyse du bâtiment pour améliorer la qualité de vie intérieure. C’est l’orientation prise par les smart building.
Publié le 12 septembre 2017 par La Rédaction
La qualité intérieure, moteur de la transition digitale
L’évolution des constructions ne se limite pas aux seules innovations touchant les matériaux. L’entrée du digital dans les habitats a conduit à plusieurs améliorations pour simplifier leur fonctionnement et faire progresser les conditions de vie. Aujourd’hui, les systèmes vont encore plus loin en se tournant vers une donnée longtemps laissée de côté : la qualité de l’air intérieur.
Celle-ci apparaît comme un point central avec de nombreuses avancées. Cette donnée est d’autant plus vraie dans les smart building. Mettant les objets connectés en avant pour piloter la maison, ceux-ci incorporent de nouveaux éléments qui assurent aux usagers de garder un œil sur l’air intérieur afin d’agir en cas de réduction de la performance. Les dernières innovations prévoient notamment l’intégration d’un boîtier qui mesure le taux de particules fines.
L’évolution des détecteurs de fumée
L’avancée des technologies concerne également les détecteurs de fumée. Obligatoires dans les constructions depuis plusieurs années, ils se renouvellent eux aussi. Leurs fonctions sont élargies pour regrouper plusieurs appareils. Ils intègrent notamment la mesure du monoxyde de carbone, de la température intérieure et du taux d’humidité. Leur fonctionnement est prévu pour une durée de 10 ans afin de simplifier les opérations d’entretien. Cet équipement est connecté pour une transmission rapide des informations au résident, via la box du foyer.
Ainsi, la surveillance du logement devient une priorité. Elle répond à la recherche d’une meilleure qualité de vie, tout en s’adaptant à la tendance actuelle à garder toujours le contrôle sur chaque équipement.