Les peintures ne sont plus seulement décoratives. Depuis quelques années, elles deviennent aussi actives, contribuant au confort intérieur. Il en existe désormais plusieurs avec chacune une fonction précise, parmi lesquelles celle d’anti-condensation.
Publié le 15 avril 2015 par La Rédaction
L’amélioration des constructions par la peinture
Il est fini le temps où la peinture s’appréciait uniquement pour son côté décoratif. Présente dans de nombreux immeubles, que ce soit les logements comme les locaux professionnels, elle vient aujourd’hui participer à la conservation du bâti en développant différentes utilités. Cette peinture à fonctions répond aussi aux nouvelles exigences, notamment concernant la qualité de l’air.
Ainsi, les peintures à fonctions connaissent une forte évolution, par exemple dans un rôle de dépollution de l’air ou encore en tant que peinture isolante ou même anti-ondes électromagnétiques. Elles se déclinent aujourd’hui dans une autre gamme, celle de l’anti-condensation. Des qualités principalement obtenues par l’ajout d’additifs ou de liants revus, pouvant notamment intégrer des microbilles permettant de capturer les particules et impuretés.
Un exemple, la peinture anti-condensation
Parmi ces nouveautés, la peinture anti-condensation agit sur les supports intérieurs neufs comme anciens en venant réduire l’effet paroi froide et donc la formation de condensation et d’humidité. La première conséquence est d’éviter les dommages pouvant être causés sur la surface, tout en proposant une fonction isolante, de régulation. Elle dispose aussi, généralement, d’un haut pouvoir couvrant, permettant de traiter facilement chaque mur.
Suivant le produit sélectionné, il est également possible de teinter la peinture pour obtenir la finition de son choix, tout en conservant ses atouts techniques. Une façon d’allier à la fois le côté décoratif, tout en l’associant à une fonction bien définie pour renforcer la performance du bâti.