Si, traditionnellement les gouttières sont réalisées en zinc, elles trouvent aujourd’hui d’autres déclinaisons parfois étonnantes. Ainsi, loin des nouveaux matériaux tels que l’aluminium ou le PVC, d’autres choix permettent de participer à l’architecture du bien immobilier en amenant une touche d’originalité.
Publié le 4 janvier 2016 par La Rédaction
Des matériaux anciens qui s’offrent de nouvelles déclinaisons
Les descentes EP comme les gouttières suivent la tendance de ces dernières années en appréciant, comme pour le reste du bâtiment, aller chercher de nouvelles idées. Parmi elles, les matières les plus anciennes viennent retrouver leur place. C’est le cas du cuivre. Très utilisé dans les temps anciens, il revient dans les constructions, y compris sur les gouttières. Son aspect patiné évoluant avec le temps est l’une de ses marques, apprécié en architecture.
Autre matériau que l’on retrouve également dans cet usage, l’acier. Celui-ci est choisi pour ses qualités de résistance dans le temps. Il est ainsi le matériau adapté à tous les climats. Fabriqué sur mesure, il s’associe avec simplicité à toutes les réalisations. Reste son coût, souvent plus conséquent que d’autres produits.
Le bois, matériau naturel pour réaliser les gouttières
Autre matériau original, le bois. Celui-ci est aussi employé pour cet usage. Il présente toutefois un inconvénient de taille, celui de son poids. En effet, il impose une structure suffisamment résistance pour le supporter. De même, sa rigidité peut représenter un handicap afin de venir épouser toutes les formes de l’architecture extérieure.
L’originalité est donc de mise dès qu’il s’agit d’envisager les matériaux qui serviront à réaliser les gouttières de chaque construction, que ce soit dans le cadre d’opérations neuves ou en rénovation. Un autre élément doit aussi être étudié, celui de la réglementation locale. En effet, il n’est pas non plus possible de tout faire en la matière, notamment dans les zones classées aux monuments historiques.